Le revenu jeunes fête ses 1 an !
Le , Michel Ménard, Président du conseil Départemental et Jérôme Alémany, Vice-Président en charge de la jeunesse accueillaient les partenaires du Département pour les « 1 an du Revenu jeunes ». Ce fut l’occasion de faire le bilan de cette expérimentation lancée un an auparavant afin d’aider les jeunes de Loire-Atlantique en difficultés.
Le revenu jeunes, c’est quoi ?
Jérôme Alémany présente le revenu jeunes et dresse le bilan de cette expérimentation :
Quel bilan pour le revenu jeunes ?
En un an, le revenu jeunes c’est 418 jeunes qui ont été aidés et accompagnés, dont une moitié de jeunes non connus des institutions. Plus d’un jeune sur deux sont sortis du dispositif au bout de 4 mois (soit la durée initiale d’ouverture du droit). Cela prouve que pour de nombreux jeunes, il apporte le coup de pouce nécessaire. A l’issue de cette première année, nous pouvons conclure que le revenu jeunes répond bien un besoin et un manque des jeunes en Loire-Atlantique, il est un tremplin vers le droit commun (apprentissage, contrat engagement jeune, formation…), un filet de sécurité en cas d’accident de parcours (santé, rupture familiale…), un outil de sécurisation pour des jeunes en situation de précarité qui risquent de décrocher.

Un dispositif que le groupe compte bien défendre et développer !
Ce revenu jeunes était l’un des projets phare de notre groupe lors des dernières élections. Loire-Atlantique à Gauche est par conséquent très heureux que ce dispositif est été mis et qu’il porte ces fruits. Il s’inscrit parfaitement dans notre volonté de toucher celles et ceux que l’on appelle « les invisibles », ni en emploi, ni en études, ni en formation.
Ce n’est que le début…
Nous ne devons pas nous arrêter en si bon chemin… Le groupe souhaite bien évidemment poursuivre et renforcer ce dispositif avec pour objectif : toucher encore plus de jeunes ! Pour cela, nous voulons lancer une nouvelle campagne de communication et organiser des réunions locales avec les partenaires. Nous souhaitons également faire évoluer les critères pour mieux toucher certains jeunes en difficulté, notamment les étudiants. C’est également un combat que nous souhaitons porter nationalement avec Bruno Bernard président de la métropole du Grand Lyon qui a mis en place un Revenu de solidarité jeunes.
